mercredi 13 décembre 2006

un texte de toune tsé...

L’expire

Dans l' ambiance tiède du métro
J'ai vu des humains au hasard
Des sourires fuyants
Et des coins de regards

Y’a le média perché
Tenant dans son bec un orage
Les âmes se croisent
Mais ne sont qu’un ombrage
Au bonhomme de l’info
Mais moi j’y fait défaut car

Chignon défait les étudiantes
Tombent mon amour comme leurs cheveux
Au moins quatre fois par jour
Je me retiens loin d’elles

Et cette odeur d’arachide
Me rappelle sans cesse mon réveil
La frustration d’avoir perdu
L’expire du sommeil

Y’a des matins de pamplemousses
Et de miettes de croissants
Et d’autres ou l’édredon
Est vraiment trop pesant
Restera toujours le capuchon
Pour être seul dans le wagon

Un loop de vie en stéréo
Sur une banquette rétro

Et cette odeur d’arachide
Me rappelle sans cesse mon réveil
La frustration d’avoir perdu
L’expire du sommeil
Quand les deux monde se croisent
Mais qu’on en vit qu’un seul
Je veux rester pris
Entre le rêve et le réveil

8 commentaires:

William a dit…

C'est smooth ça Félix. Good job. Content de te lire. J'vais venir ici souvent.

olivier nj a dit…

c'est un beau texte ça,
me semble que tu l'avais joué au show, right ??

félix-antoine c. a dit…

right oli.merci wil..secrètement, j'te lis déjà depuis quelques semaines...les commentaires s'en viennent.

félix-antoine c. a dit…

right oli.merci wil..secrètement, j'te lis déjà depuis quelques semaines...les commentaires s'en viennent.

olivier nj a dit…

je suis passé lacher un pèt sur ton blog
prr.

félix-antoine c. a dit…

ca sent le vide.

William a dit…

Oli, tu m'as écrit le même message, maudit crosseur. Soit t'es un estie de player, soit tu manges trop de fibres.

olivier nj a dit…

je mange trop de bagels au beurre de peanuts, je l'avoue.